Existe-t-il des dimensions cachées ?
Dans Sciences et vie n° 1078 de juillet 2007 « Que reste-t-il à découvrir ? » page 58 on lit :
« Combien y a-t-il de dimensions ? A priori trois (largeur, longueur et hauteur). Ou quatre si on y ajoute le temps. Cela dit, plus d’une théorie physique envisage que l’univers contienne des dimensions supplémentaires jusqu’ici restées invisibles ! Par exemple, on peut imaginer qu’il existe de minuscules dimensions repliées sur elles-mêmes. Pour comprendre, prenez un fil tendu entre deux poteaux : pour un funambule, ce fil n’a qu’une dimension, mais pour un insecte qui en fait le tour, il en a deux. Ainsi de minuscules dimensions supplémentaires pourraient nous demeurer invisibles… A moins qu’à l’inverse, elles ne soient immenses !
Imaginez en effet que notre espace à 3 dimensions flotte dans un espace plus vaste. Nous serions alors dans notre Univers exactement comme les amibes à la surface d’une mare : sans conscience ni de la profondeur de l’eau ni de l’espace extérieur ! Evoquée dans les années 20, cette hypothèse reprit vie dans les années 70, avec la théorie des cordes. Imaginée pour unifier les quatre forces fondamentales de la nature, elle invoque un univers à 10, 11 ou même à 26 dimensions ! Comme l’explique Cédric Deffayet à l’Institut d’astrophysique de Paris « sans ces dimensions supplémentaires, la théorie ne respecte pas certaines symétries mathématiques essentielles à sa cohérence physique.» Le problème, c’est que personne n’a jamais vu de dimension supplémentaire !... » - M.G. -»
Toutefois les scientifiques sont des hommes comme les autres et leur vision partielle, parcellaire, les amène à rejeter ou ignorer volontairement ce qui n’est pas de leur domaine. Lorsque M.G. l’auteur de l’article, affiche « personne n’a jamais vu de dimension supplémentaire », quelle ignorance ! Cette erreur provient d’une spécialisation trop fermée qui nie ce qui n’est pas de son domaine, car bien sûr ces dimensions cachées ne se voient ni au microscope ni au télescope.
L’ESPACE à 1 DIMENSION est une largeur.
Ne vit dans cet espace qu’un point qui ne se déplace que sur une seule ligne. La particule la plus élémentaire, le « quark » est un point, elle a une masse mais pas de volume. Elle réside dans un espace à une dimension.
On peut penser que l’électron avec ses sauts espacés ou rapprochés du noyau atomique aussi.
Le photon, découvert au vingtième siècle, est à la fois onde et particule. Dans la page suivante, je joins une annexe sur le "biophoton" qui remet en cause les soins occidentaux uniquement basés sur la matière, alors que la guérison véritable se situe dans les ondes énergétiques, dans la "bioénergie", préalablement à la guérison du corps physique.
L’ESPACE à 2 DIMENSIONS rajoute la longueur à la largeur.
Nos dessins, les peintures, les photos,
beaucoup d’images sont à 2 dimensions car ce sont des surfaces planes. Un organisme bidimensionnel (comme l’amibe à la surface de l’eau, le ver dans la terre, ou les bactéries dans les cellules vivantes…) ne s’imagine pas l’épaisseur des choses, c’est pour lui incompréhensible car toute épaisseur lui apparaîtrait d’une hauteur insondable, avec la même impression que nous lorsque nous allons dans la stratosphère.
Faisons cette expérience : élevons un crayon à hauteur de l’œil en le présentant dans le sens de la longueur, puis, dans le prolongement de ce crayon, plaçons-en un autre. Nous serons dans l’impossibilité de voir le deuxième crayon parce qu’il sera caché par la ligne du premier crayon. Pour voir ce deuxième crayon, on serait obligé d’entrer dans une nouvelle dimension, c'est-à-dire de descendre au-dessous du niveau des crayons ou de nous élever au-dessous d’eux, de façon à pouvoir les regarder d’en haut ou d’en bas, c'est-à-dire en perspective. Nous serions donc dans la situation de notre être bidimensionnel.
LA 3ème DIMENSION rajoute aux deux précédentes soit la hauteur, soit la profondeur. Avec des lunettes spéciales on peut aujourd’hui voir des films en 3 dimensions. La géométrie dans l’espace théorise les trois dimensions avec ses 3 axes x, y et z :
Les gens matérialistes ne vivent que dans un espace à trois dimensions.
"De la physique quantique à la thérapie informationnelle en passant par le champ corporel humain et à la cohérence cardiaque, le film The Living Matrix explore des idées novatrices au sujet de la santé. Des scientifiques, chercheurs, journalistes et des thérapeutes holistiques partagent leurs connaissances, leurs expériences et leurs visions".
Ce documentaire réalisé en 2009 par Greg Becker, traite de la Science de la Guérison et rassemble des chercheurs académiques, des praticiens de renommée, des journalistes scientifiques:
le biologiste anglais le Dr. Rupert Sheldrake (concepteur de la théorie des champs morphogénétiques), le Dr. Bruce Lipton (praticien de la Reconnexion), l’astrophysicien Edgar Mitchell (travaillant sur la bioénergétique et la physiologie humaine), le Prof. Fritz Albert Popp (découvreur des biophotons), la journaliste scientifique Lynne Mc Taggart, la chercheuse et présidente de l’Institut des Sciences Noétiques Marilyn Schlitz et bien d'autres encore.
Une nouvelle théorie ?
Les dernières découvertes scientifiques remettent en question notre conception même de l'être humain et de son fonctionnement : elles mettent en évidence l'influence des mécanismes bioénergétiques dans la biologie et la guérison. Loin de la conception cartésienne de l'être humain, des scientifiques démontrent l'existence de champs énergétiques liant le corps, l'esprit et l'environnement.
En effet, ce ne seraient pas les gènes qui gouverneraient nos cellules (et seraient donc responsables de maladies génétiques ou non, de la régénération des cellules, de la guérison, etc) mais bien "des champs d'énergie" entourant notre corps et nos organes. Les chercheurs les nomment "champs morphogénétiques" ou "champs corporels".
"Il existe une hiérarchie de champs organisant votre corps, explique Rupert Sheldrake. Il y a le champ du corps en entier, des organes, des tissus, des cellules. Le champ de notre corps est à l’intérieur et autour du corps. Il y a un champ global et des champs subsidiaires pour les bras, les jambes et les différents organes.
Et ces champs sont intrinsèquement un tout."
Et comment ça marche ?
Notre médecine occidentale est fondée sur les recherches d'Isaac Newton et René Descartes, datant du 17eme siècle.
Le principe étant que la matière prime sur la pensée et que notre corps est simplement une machine gérée par deux moteurs : le coeur et le cerveau. Le corps et l'esprit seraient donc séparés, ne s'influençant pas mutuellement. Ce qui explique pourquoi la science soigne uniquement le corps malade (la "matière"), par des traitements chimiques, médicament, opérations, etc.
Pourtant, le documentaire met en avant le fonctionnement des biophotons et l'influence de l'esprit sur ceux-ci.
En effet, les cellules de notre corps captent et émettent constamment de la Lumière : ces cellules communiquent entre elles par l’échange de "biophotons", lumière porteuse d’informations, porteuse de vie, capable de réguler notre métabolisme par le biais de nos champs corporels.
Explication du Dr Bruce Lipton, biologiste et généticien :
"A travers les siècles, nous nous sommes focalisés sur la réalité mécanique et avons abandonné le concept d’énergie et de champs dans la biologie. Mais on reconnaît maintenant que l’esprit est un champ énergétique de pensée que l’on peut lire avec les capteurs d’un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l’aide d’un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu’elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l’activité nerveuse, sans même toucher le corps".
Comment retrouver le bien-être ?
D'après les chercheurs, l’esprit et les pensées posséderaient une réelle énergie physique, créant elle-même un corps magnétique ; elle projetterait également des substances chimiques. Le mental et l’intention (la pensée positive) influenceraient donc la maladie et/ou la guérison.
"Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, idem pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules " explique Edgar Mitchell.
La maladie serait une information disponible dans notre fameux "champs corporel", une information erronée, une sorte de distorsion que l'on pourrait corriger par le biais de techniques énergétiques , en influençant et canalisant nos biophotons.
Explication du Dr Peter Fraser :
"Nous avons appris à stopper la distorsion de l’information qui se produit du fait de divers processus pathologiques. Une fois qu’on a stoppé la distorsion, de façon assez surprenante, la physiologie se met à fonctionner correctement, de même que la chimie. »
Depuis des siècles, l'humain, son corps, son esprit, l'énergie de son environnement, font partie d'un Tout, mais la science cartésienne et rationnelle les séparait.
Aujourd'hui, scientifiques et chercheurs s'accordent pour étudier l'interaction entre esprit et corps, afin d'expliquer certaines maladies ou pathologies et surtout trouver des solutions.
C'est une ère nouvelle, un nouvel espoir pour les thérapeutes en médecines alternatives de se faire entendre et reconnaitre.
Réjouissons- nous, la médecine de l'avenir est là !
