Grâce à de multiples recherches scientifiques psycho-neuro-immuno-endocrinologiques, la preuve est faite que notre esprit et donc nos pensées et nos émotions ont une correspondance avec nos problèmes physiques. La psycho-neuro-immunologie affirme qu'il est possible d'agir pour sa santé, dans des articles comme : "Combattre la maladie en utilisant ses ressources intérieures".

Nous sommes soumis chaque jour à une collection de stress variés. Notre façon de nous y adapter est déterminante. Se relaxer, rentrer à l'intérieur de soi, en prenant de la distance, du recul par rapport à ses difficultés, permet de mieux percevoir le contexte de la situation et les alternatives qui y sont contenues. Il est bon d'apprendre à installer en soi un état de relaxation. Il génère des émotions positives et une confiance nouvelle pour trouver une solution adaptée à chaque situation. Les recherches montrent qu'apprendre à gérer ses stress améliore la qualité de vie et renforce certaines défenses de notre immunité. A l'inverse, les émotions négatives nous plongent dans un état de conscience douloureux.

PLAN ANTI-PESSIMISME 2012 Bouche pleine: Glanez tel un glaneur de langage idoine, les mots valorisants et sereins qui apaiseront votre organisme. Débusquez comme un cochon truffier les formules bénéfiques et transférez-les à vous-même sans attendre. Une seule violette suffit pour que bouquet sente bonInnocent. Sentez bon !Content

Il est dans notre intérêt de voir les choses de la meilleure façon possible. Aisé à dire, moins facile à faire ! "Positiver ses pensées" est une admirable formule, et on peut se sortir de toute situation en positivant. Positiver c'est appréhender et garder dans la tête les avantages ou les qualités de la situation, surtout si ceux-ci ne se présentent pas spontanément. On concevra les circonstances comme acceptables ou au pire on considèrera que "c'est normal". Toute situation a un intérêt, du positif ou un avantage, et la même situation a aussi des inconvénients, du négatif ou un désavantage. Ce sont les deux faces de la même médaille, c'est la lumière suivie de l'ombre qu'elle projette, c'est le bonheur avec sa tristesse incontournable qu'il insuffle inexorablement et régulièrement.

 

Or, l'appréciable et l'intérêt ne sont pas facilement présents dans nos idées. On a une tendance naturelle à repérer plutôt le manque, le désagréable et à spéculer sur le négatif.
"Bon ! admettons, intervins-je, je suis disposée à positiver ! Mais ma condition est si inextricable que je ne parviens pas à trouver quelque avantage. Ma colère ou ma misère sont tels que je suis incapable de penser du bien, alors ? Que fais-je ?"

Vous avez le droit d'être perdu, d'être en colère ou d'être désabusé, me répondra le libre penseur. Mais il s'agit de dépasser cet état qui vous perturbe, ou ces états, un par un, progressivement, en commençant par le plus facile, pour s'encourager ! Toute petite réussite se ressent comme une joie interne, on ne peut pas rater ces bonheurs-là, on les ressent en soi et on sait véritablement qu'on est sur la bonne voie.

Comme tout concept n'est que vue de l'esprit, quelque part il est erroné car incomplet. Je recherche donc une autre vue de l'esprit, c'est là que les autres personnes deviennent intéressantes, elles m'offrent d'autres visions des choses ou de la vie que je n'ai pas imaginées.

                                               

Faute de mieux, nous pouvons toujours nous affirmer :

"Ce n'est pas ce que je voulais, mais c'est O.K. La vie ne m'a pas accordé ce que je voulais, c'est mieux ainsi, la vie est plus raisonnable que moi (même si on n'est pas convaincu à prime abord, on se le répète quand même car inévitablement à un moment donné, on se rend compte que c'est mieux comme ça.)."

Apprenez par coeur ceci, ça ne peut pas vous faire de mal : "Ce moment valait le coup d'être vécu. En soi, je l'apprécie en soi, pas pour obtenir davantage, pas pour conquérir autre chose, plus dans l'objectif d'un futur bonheur hypothétique que mon esprit idéalise. J'apprécie ce qui arrive juste pour le contentement de le vivre maintenant, juste pour le simple plaisir de l'avoir vécu, en soi !".

"Heureux soit le positif" soyons d'accord, enfin je souhaite que nous soyons tous d'accord. Néanmoins nombres de contrariants ou de contestataires affirmeront qu'il y en a marre de "positiver à tout prix" et ils rejetteront tout conseil dans ce sens. Libre à eux, c'est leur vie après tout. Cependant, je leur consacrerai un chapitre intitulé "bienvenu le négatif", car le négatif à bien raison d'exister. Plutôt que céder à la question mentale habituelle  : "Qu'est ce qui va mal ?" Forcez-vous à vous questionner ainsi : "Qu'est ce qui va bien ?" Savoir que ce qui fait mal peut faire à terme du bien, ou en tout cas prévient..., avancer quoi qu'il arrive, traiter les autres comme vous voudriez qu'ils vous traitent, croire en la vie, apprendre à faire la paix avec vous-même sont autant de pas vers les attitudes positives et heureuses.

Lorsque, pour nous, les choses vont bien, lorsque les gens font selon notre goût, on considère cela comme normal, on ne le remarque pas, on n'en parle pas. Et justement, il serait bon de le repérer. Par contre lorsque les personnes agissent mal, que les choses vont mal, la plupart des gens le remarque, ces mécontents en parlent, crient ou manifestent avec plus ou moins de violence. Faîtes un effort de repérer si après ces contestations, les choses ont été modifiées en bien... Je parie 100 % que non. Les choses et les gens restent à l'identique, rien ne change. La juste règle de l'univers est "Je ne peux pas changer les gens, Je ne change pas les choses qui se déroulent sans mon consentement ! La seule chose que je peux changer c'est ma pensée."

 

 

 
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