LA   SANTE  PAR  LA  BIOCHIMIE

"Nous avons tous en nous un système guérisseur". Notre corps peut libérer des endorphines aussi appelées opiacés naturels. Ces substances  provoquent non seulement euphorie et analgésie mais aussi, selon certains chercheurs un renforcement du système immunitaire.  Le livre "Guérisons remarquables " de Caryle Hirshberg et Marc Ian  Barasch nous évoque cela et précise : "Il peut paraître étrange que le corps génère des images terrifiantes* à un moment où la guérison parait nécessaire. La clé de ce paradoxe serait dans l'éventuel pouvoir guérisseur des endorphines. Ces expériences psychiques seraient alors une "mesure positive" prise par l'esprit et le corps pour produire des hormones protectrices. Il y a libération d'une dose massive d'opiacés endogènes qui déclenche une cascade d'effets amenant la régression de la maladie.  L'une des fonctions du "système guérisseur" est d'amplifier les messages qui restaurent la santé. On sait que certaines cellules signalent biochimiquement à différents éléments du système immunitaire la nécessité de se mobiliser contre un envahisseur pathogène. Il s'agit en fait "d'appels au secours" et il parait logique qu'ils soient entendus à d'autres niveaux du "système de guérison" affectés par les neuro-peptides**, peut-être sous la forme d'émotions de pensées et d'images mentales."

*Non seulement des images bizarres dans la tête, mais j'ai constaté aussi parfois davantage de douleur dans le corps juste quelques temps avant la libération et la guérison, et c'est normal, c'est la "douleur de guérison" et cela rejoint les propos des auteurs.

**Les neuro-peptides révélés par le docteur Candace Pert sont de minuscules molécules qui peuvent voyager partout dans le corps et atteindre n'importe quelle autre cellule. Chaque cellule du corps possède des récepteurs pour ces petits messagers mais aussi peut les fabriquer, c'est un principe de communication compréhensible. Les cellules ont la capacité de communiquer entre elles. Grâce à la biochimie, par le système immunitaire élaboré dans lequel nous avons confiance, nous pouvons retrouver la santé.

Albert Einstein a dit un jour que la question fondamentale de la science devait être :" L'univers est-il amical ? "

On possède au moins un univers amical, c'est notre système immunitaire de guérison puisqu'il est entièrement tourné vers un seul but : le ralliement de toutes les fonctions psycho-physio-spirituelles au service de la guérison, car quand le corps ne peut plus se battre tout seul, on peut supposer qu'il envoie des neuro-peptides pour réclamer l'assistance de l'esprit   ...L'union fait la force et la force gagne....

 

 

LA  SANTE  PAR  LA   FORCE  DE  L'ESPRIT

Se sentant malades, beaucoup de personnes combattent la maladie comme si elle était un ennemi à exterminer par des moyens violents et radicaux. Or n'est-elle pas, comme l'est aussi la souffrance, une expression de nous-même, un révélateur, un messager ? Le corps s'exprime par les moyens qu'il peut, et manifestement il exprime ainsi ce qui ne peut être "dit" ou révélé autrement.

Cherchons comment m'unir à la maladie, comment la voir autrement, comme un langage notamment, ou comme une invitation au détachement, ou un poteau indicateur ou  comme une ouverture du coeur vers une compréhension différente, plus approfondie de soi-même ou des autres.

Toutes ces réponses, présentes uniquement en nous-même, ne peuvent se dévoiler que dans une réconciliation avec nous-même, dont la maladie fait partie. Elle est nous-même, la maladie et la souffrance existent dans notre réalité et la totalité de ce que nous sommes.

Le cerveau  -la partie émotionnelle du cerveau-  ne fait pas toujours la différence entre ce qu'on imagine et ce qui se passe réellement.  Pour lui, être réellement allongé sur la plage, ou allongé sur le canapé à rêver cette scène ou celle-ci vu au cinéma comme si on y était, c'est du pareil au même. Le cerveau ne différencie pas ce qui est "vrai" et ce qui est "imaginé". Facilement influençable donc, servons-nous en alors pour notre intérêt, la méthode est la visualisation.

La visualisation qui permet la santé par la force de l'esprit, demande de bien comprendre la puissance de l'imagination, et plutôt que de se centrer uniquement sur les éléments défectueux, est-ce que je peux imaginer que la situation se déroule différemment ? Est ce que je peux me centrer sur d'autres éléments qui m'amèneront une sensation de mieux-être ?

Une méthode de visualisation comme celle du Docteur Carl Simonton (cancérologue américain) a permis  à des malades de guérir en les faisant imaginer des cellules saines attaquant les cellules malsaines. Une autre méthode peut s'orienter sur la visualisation de nos globules blancs, cellules de guérison, qui se multiplient et détruisent les virus ou les microbes. 

L'auteur Baruch Spinoza (1632-1677) disait "La souffrance cesse d'être souffrance sitôt que l'on s'en forme une représentation nette et précise". Vous pouvez dans votre esprit, décrire sans relâche la souffrance jusqu'à la cerner, jusqu'à la voir, imaginer sa forme, son aspect, sa taille, son poids, son odeur ou sa couleur peut-être aussi, et puis vous la bougez, et puis vous réduisez cette forme souffrante jusqu'à la dissoudre ou vous la changez en état gazeux jusqu'à la faire sortir de votre corps telle une fumée noire qui s'éloigne... Faites ce qui vous semble le plus efficace, en étant convaincu que l'esprit peut guérir, il est une force.

LA  SANTE  PAR  LA  LUMIERE

Notre médecine occidentale est fondée sur les recherches d'Isaac Newton et René Descartes (théories cartésiennes) datant du 17ème siècle. Son principe étant que la matière prime sur la pensée et que notre corps est simplement une machine gérée par deux moteurs : le coeur et le cerveau, elle soigne uniquement le corps malade ("la matière") par des traitements intrusifs (opérations) ou chimiques (médicaments).

Des chercheurs scientifiques du 20ème siècle, nombreux, s'accordent à affirmer l'influence de mécanismes bioénergétiques dans la biologie de la guérison. Effectivement, il existe des champs énergétiques liant le corps, l'esprit et l'environnement, la médecine orientale travaillant sur les chakras, les méridiens... s'appuient depuis toujours sur ces connaissances qui demeuraient intuitives. Je cite entre autres Fritz Albert Popp, chercheur allemand en biophysique né en 1938, qui a mis en avant le fonctionnement des biophotons et l'influence de l'esprit sur ceux-ci. En effet, les cellules de notre corps captent et émettent constamment de la Lumière.  Les théories de Fritz Albert Popp en 1970 expliquent que les biophotons (énergies lumineuses naturelles) sont des lumières porteuses d'informations, porteuses de vie, capables de réguler notre métabolisme par le biais de nos champs corporels.

                             

Le docteur Bruce Lipton, praticien américain de la Reconnexion, explique qu'on reconnait maintenant que l'esprit est un champ énergétique de pensée que l'on peut lire avec les capteurs d'un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l'aide d'un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu'elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l'activité nerveuse, sans même toucher le corps.

D'après nombre de chercheurs, l'esprit et les pensées posséderaient une réelle énergie physique, créant elle-même un champ magnétique, et celle-ci projetterait des substances neurochimiques internes, le mental et l'intention (la pensée positive ou négative) influenceraient donc la maladie et/ou la guérison. "Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, idem pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules" explique Edgar Mitchell, astrophysicien américain travaillant sur la bioénergie de la physiologie humaine. La maladie serait une information disponible dans notre fameux "champ corporel", une information erronée, une sorte de distorsion que l'on pourrait corriger par le biais de techniques énergétiques, en influençant et canalisant nos biophotons.

L'explication du docteur Peter Fraser, chercheur américain, est  "Nous avons appris à stopper la distorsion de l'information qui se produit du fait de divers processus pathologiques. Une fois qu'on a stoppé la distorsion, de façon assez surprenant, la physiologie se met à fonctionner correctement, de même que la chimie."

Depuis des siècles, l'humain, son corps, son esprit, l'énergie de son environnement, font partie d'un Tout, mais la science cartésienne et rationnelle les séparait. Aujourd'hui, scientifiques et chercheurs s'accordent pour étudier l'interaction entre esprit et corps, afin d'expliquer certaines maladies ou pathologies et surtout trouver des solutions. C'est une ère nouvelle, un nouvel espoir pour les thérapeutes en médecines alternatives de se faire entendre et reconnaître.

Il est possible de retrouver la santé grâce à la lumière. A notre niveau, si nous savons que la "lumière naturelle de l'Energie Universelle" nous entoure sans cesse, nous pouvons la capter en la visualisant dans notre esprit, et cela de mieux en mieux avec un entraînement régulier, alors grâce à elle réguler nos champs énergétiques, et peut-être même, si nous y croyons ferme, nous guérir.

 

LA  SANTE  GRÂCE  A  L'IMMUNITE

En biologie, l'immunité est l'état équilibré de posséder des défenses biologiques adéquates pour combattre l'infection, la maladie ou tout autre invasion indésirable, tout en ayant une tolérance également adéquate pour éviter l'allergie et la maladie auto-immune.

L'immunité adaptative (qui complète l'immunité innée) se développe après contact avec une maladie causant la réaction et permettant de se protéger dès maintenant et à l'avenir, par une sorte de mémoire, contre le même agent pathogène. L'immunité, indispensable aux corps vivants pour trouver la guérison et se maintenir en bonne santé, a besoin de la maladie. Certains médecins n'hésitent plus à affirmer que la maladie même grave est une chance d'évolution pour qui sait la saisir. 

Le docteur Michel Bercot, chirurgien cardiaque et médecin énergéticien français, s'intéresse à ces recherches et explique :"Je ne pense pas, dit-il, qu'un homme puisse évoluer sans jamais être malade. La maladie est un parcours initiatique. Elle devient initiation à partir du moment où les yeux du malade s'ouvrent sur les causes de sa maladie. Si l'on prend conscience de l'évolution qu'elle permet, c'est un moteur extraordinaire."

Les maladies sont utiles. Les infectieuses peuvent, en effet, être comparées à une épreuve sportive pour le système immunitaire : elles le stimulent, le développent, le renforcent. Toute maladie résulte en réalité d'une rupture d'équilibre au sein des mécanismes normaux, de telle sorte qu'une insuffisance de l'un entraîne un excès de l'autre. L'expression de la maladie n'est que le reflet de cet excès apparent derrière lequel se masque l'insuffisance qu'il faut rechercher pour comprendre et surtout guérir de manière définitive. Au lieu de soigner l'excès par des méthodes agressives, cherchons plutôt à soigner l'insuffisance en restaurant l'harmonie des échanges d'informations entre les différentes cellules immunitaires compétentes. La confiance en son immunité permet de conserver la bonne santé générale, sachant qu'il y a toujours des baisses de forme ou des moments maladifs sporadiques.

"J'ai dix ans de moins grâce au sport" explique un jumeau interrogé. Une étude britannique suggère que l'activité physique préserve nos gênes. Les chercheurs ont comparé les extrémités des chromosomes (les télomères) de 2400 jumeaux. Résultat : les jumeaux pantouflards ont des télomères plus courts que leur frère ou soeur plus sportif et cela est signe de vieillissement. Entre ceux qui pratiquent plus de trois heures hebdomadaires et les plus sédentaires, on retrouve une différence qui correspond à dix années en terme de vieillissement et donc de différence de santé. La sédentarité amène à terme différentes maladies, ou en tout cas un terrain propice à leurs arrivées.

"De nombreuses maladies surviennent par manque de lumière spirituelle, explique EveLynn dans "Qu'est ce que le channeling ? Edition EB Bussière page 146.  Autrement dit la maladie serait un manque de bien-être, un manque d'harmonie. L'homme passe sa vie à se "désharmoniser" et ainsi à créer la maladie. Certaines âmes choisissent délibérément  la voie de la souffrance, mais c'est un choix subconscient."  Je précise que le manque de lumière spirituelle consiste à trop d'attachement matériel qui n'est pas un véritable bien-être. Ce n'est qu'un confort. Les asservissements matérialistes amènent une joie éphémère jamais durable. Le bien-être est plutôt une harmonie interne, dans la découverte de sa valeur personnelle et son identité non grâce à des facteurs extérieurs à soi non contrôlables, mais grâce à son âme bien portante.

                                                         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
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