D’AUTRES DIMENSIONS EXISTENT ENCORE INCONNUES DU GRAND PUBLIC.

           Je prends comme exemple une dimension que j’appellerais "la dimension énergétique de toute chose qu’elle soit minérale, animale ou humaine". Elle comprend la mémoire des lieux, la mémoire des pierres, la mémoire de l’eau ou les communications énergétiques intercellulaires.


Ces dimensions énergétiques sont inconnues pour tout un chacun. Elles ne sont accessibles que grâce aux vibrations qui permettent à certains humains sensitifs, très sensibles aux vibrations ondulatoires, de les percevoir dans des conditions spéciales de lieu, de climat et de façon très ponctuelle. L’exemple le plus simple est le sourcier, mais il y en a plein d’autres.

Nous pouvons citer des lieux qui possèdent des taux vibratoires très importants.

 

Il existe sur terre des endroits comportant des édifices entrés dans cette dimension, c’est le cas du fameux triangle des Bermudes, on peut détecter ces lieux en radiesthésie, en revanche il est impossible de les voir dans un état de conscience ordinaire. Les lieux des pyramides, de dolmens, de menhirs, de certaines cathédrales ou temples sont des lieux chargés d’ondes vibratoires auxquelles certaines personnes sont sensibles, dès lors qu’elles sont temporairement détachées du matérialisme et que leur esprit est ouvert à ces dimensions mystérieuses. Ces personnes élèvent alors facilement leur niveau de conscience.

Certains miracles ou des guérisons remarquables ont pour cause cette action des ondes bénéfiques qui existent bel et bien dans ces endroits mythiques.

 

            Le livre  « Les nouveaux dossiers de l’étrange, Enquêtes au-delà du réel » de Guy Tarade aux Editions Ramuel parle des Univers parallèles page 154

« Si nous prenons la notion d’univers parallèle en son sens le plus large tout en voulant être très précis, nous donnerons la définition suivante : il s’agit de l’existence parallèlement à notre univers sensible, perceptif, mais selon des modalités analogues de manifestations, d’autres univers sensibles ; ces régions de trouvant normalement coupées, indépendantes de notre univers perceptif, mais pouvant parfois s’interférer avec le nôtre. L’idée d’univers parallèle suppose donc bien celle de séparation entre deux domaines perceptifs, mais aussi celle de passages occasionnels d’une région à l’autre.

 

Thème fascinant que celui-ci ! Dans nombre de récits contemporains de science-fiction fondés sur le passage d’un niveau temporel à l’autre, ce thème recoupe volontiers celui des univers parallèles ; la durée telle que nous la vivons dans les conditions habituelles se trouve fragmentée par la série linéaire passé-présent-futur, alors que l’essence des choses baigne dans un éternel présent, où tous les évènements se trouvent donnés de manière simultanée.

 

Une hypothèse audacieuse suggère qu’il existe un univers fantôme ressemblant au nôtre ; il n’existe qu’une interaction très faible entre ces deux univers, de sorte que nous ne voyons pas cet autre monde : il se mélange librement avec le nôtre. »

 

 

 

 

Soixante histoires vraies et incroyables ont été récapitulées par Pierre Bellemare et Jean-Marc Epinoux dans le livre de poche « Ils ont vu l’au-delà, les aventuriers du XXème siècle. » Parmi elles à la page 201, une histoire correspond bien à cette dimension « fantôme » où les particules gardent la mémoire du lieu chargé d’énergie.

« JOUR D’ORAGE.

Mickaël Delmotte adore les grandes balades à pied. Parfois, pour le plaisir, il chausse ses gros souliers de marche, attrape son macfarlane et le voilà parti. Il a repéré un village à dix kilomètres de là. Mais cela ne lui fait pas peur. Deux heures de marche en pleine nature. Une fois arrivé à destination, il fait un tour dans le village, visite l’église, boit un verre de Vichy au café du coin et revient. De préférence par un chemin différent.

- Si je suis trop fatigué, il y aura peut-être un autocar pour me ramener. Ou bien je trouverai un taxi. Ou bien je ferai du stop !

Michaël Delmotte passe de longues heures à marcher dans la nature. Mais ce n’est pas du temps perdu. Michaël est écrivain et c’est au cours de ses longues promenades solitaires qu’il construit l’intrigue de ses romans. Sans écrire de ces « best-sellers » à la mode, Michaël parvient bon an mal an, à des tirages très honorables qui font le bonheur de son éditeur et lui permettent de vivre confortablement.

-C’est vraiment un très joli coin. Un de ces jours, il faudra que je vienne passer une quinzaine ici. Il doit bien y avoir une auberge au bord de l’eau. Je pourrais même demander à Suzanne de m’accompagner.

Suzane Balaguère, une décoratrice dans le vent, est l’éternelle fiancée de Michaël. Voilà quinze ans qu’ils se connaissent, se fréquentent. Suzanne aimerait beaucoup devenir « Madame Delmotte » mais Michaël recule toujours cette éventualité. Michaël revoit la dernière soirée qu’ils ont passée ensemble, il y a tout juste une semaine. Il lui a dit, avec un certain cynisme :

- Ma chérie, nous nous entendons si bien. Chacun chez soi et on se retrouve qu’au moment où nous en avons tous les deux envie. Cohabiter à longueur d’année ? A quoi bon ? Nous avons passé l’âge d’avoir des enfants… Quand nous serons bien vieux…  le soir à la chandelle, comme dit le poète. Peut-être…

Suzanne soupire, comme d’habitude :

- Tiens, en attendant, j’ai un petit cadeau pour toi !

Elle glisse entre les mains de Michaël un paquet enrubanné. Il l’ouvre. A l’intérieur, six mouchoirs brodés :

- Suzanne, c’est toi qui as brodé tout ça…

- Oui, regarde, ils sont tous différents.

- Tu sais que ça porte malheur d’offrir des mouchoirs. Tiens, voilà une pièce de cinq francs en échange. C’est pour conjurer le sort !

Les mouchoirs portent chacun un petit symbole brodé : un révolver, un sabre d’abordage, une lance, un arc, un poignard, un kriss malais. Chacune de ces armes symbolise un des romans d’aventures de Michaël…

Michaël marche donc dans la campagne quand il lève les yeux au ciel. De gros nuages noirs venant de l’ouest envahissent l’horizon. « Oh ! J’ai l’impression que ça va dégringoler ! »

Michaël presse le pas. Pour l’instant, il est désespérément isolé au milieu d’une plaine à blé. Il y a bien un gros arbre. Mais si l’orage éclate, il est tout à fait déconseillé d’aller s’abriter sous un arbre isolé.

- Il faut que j’arrive au petit bois qui est un peu plus loin.

Il n’y a pas plus d’un kilomètre : en courant un peu ! Michaël adore marcher mais il déteste courir. Enfin il s’élance. D’ailleurs le vent s’est soudain mis à souffler. Pas de doute. L’orage est tout près !

En arrivant au petit bois, Michaël cherche du regard s’il n’y aurait pas un abri un peu solide. La pluie commence à tomber dru. De grosses gouttes chaudes.

« Ah, là ! Cette vieille baraque ! C’est tout à fait ce qu’il me faut. »

En effet, un vieux bâtiment à un seul étage est là.

De toute évidence il est abandonné. L’entrée est surmontée d’une belle voûte en plein cintre. Une ogive de très belle qualité. La pierre blanche s’orne d’un motif sculpté d’une grande élégance : un serpent qui ondule.

Michaël se dit :

« Bigre, on dirait bien un bâtiment roman. Qu’est ce que ça pouvait être ? Bizarre que ç’ait l’air tellement abandonné. Le motif du serpent est superbe. Qu’est ce que ça peut symboliser ? Le diable peut être … »

L’étage supérieur du bâtiment est orné d’ouvertures étroites, presque des meurtrières. Le toit couvert d’ardoises se perd dans les frondaisons. Michaël pense :

« On dirait un ancien bâtiment des Templiers. Une ferme fortifiée. Il faudra que je regarde sur mon guide, ça doit être répertorié. »

 

Mais pour l’instant, l’orage déferle sur tout le paysage. Michaël a le visage trempé de pluie. Devant lui la porte est un épais panneau de chêne. Michaël, à tout hasard, appuie sur l’anneau qui est au milieu du panneau. La porte ne résiste pas à sa poussée et s’ouvre, sans le moindre grincement.

Michaël n’hésite pas et entre. D’un seul coup d’œil, il voit que le bâtiment est depuis longtemps déserté. En fait il s’agit d’une sorte de grande salle. Des murs de pierre. Au niveau du premier étage, une galerie intérieure en bois. Pour accéder à la galerie, deux volées d’escaliers qui partent du rez-de-chaussée. Sur la galerie donnent plusieurs portes. La pièce est assez obscure. Elle n’est éclairée que par une grande meurtrière.

« Bigre ! C’est superbe ! Je me demande à qui ça peut appartenir. Si par hasard c’était à vendre, je crois que je ferais bien une folie, ça a une allure folle. Suzanne en ferait un truc superbe. Avec des tapis d’Orient, des lampes basses. Une cheminée centrale qui monterait jusqu’au toit… »

Michaël est tout heureux de sa découverte. Et en plus, il est heureux d’échapper à l’averse. Il sort un mouchoir de sa poche, celui sur lequel Suzanne a brodé un petit poignard, et il essuie la pluie qui lui a mouillé le visage.

« Je vais aller voir là-haut ce qu’il y a derrière les portes qui donnent sur la galerie… Il doit y avoir de quoi faire des chambres d’amis et des salles de bain. »

Mais soudain, alors qu’il va atteindre le niveau du premier étage, la foudre tombe tout près. Un éclair illumine la pièce. Michaël s’arrête, cloué sur place par la surprise :

- Oh ! pardon, monsieur, excusez-moi ! Votre porte était ouverte ! Je suis entré cinq minutes pour me mettre à l’abri de l’orage. Je ne voudrais pas vous déranger !

Un inconnu est penché à la balustrade de la galerie. Cet homme à qui Michaël présente ses excuses est barbu et porte une chemise blanche à manches bouffantes. Michaël ne saurait dire s’il s’agit d’une chemise de nuit car il ne voit que le buste de l’inconnu. Un inconnu qui garde un silence peu amical. Michaël dit :

- Vous êtes sans doute le propriétaire de  cette maison. Elle est magnifique !

L’autre le regarde sans répondre. C’est comme s’il n’avait pas entendu Delmotte. Il se contente de le fixer de ses grands yeux noirs surmontés de sourcils très épais. Et le regard qui transperce Michaël n’a rien d’aimable. On dirait qu’il veut foudroyer Michaël sur place. Michaël qui se paie d’audace demande :

- Vous ne seriez pas vendeur par hasard ?

Le temps de monter une marche supplémentaire de l’escalier et l’homme a disparu. Pas un bruit, pas un grincement de porte ni de plancher… Michaël lance :

- Monsieur ! monsieur ! Vous êtes là ?

Il se sent soudain bizarrement mal à l’aise. Il se dit :

« Et s’il était allé chercher son fusil ? Ou bien s’il lâchait un chien à mes trousses ? Vraiment, ce bonhomme n’est pas du tout sympathique. »

L’orage semble avoir cessé et Michaël décide de quitter les lieux :

« Bon, je reviendrai une prochaine fois. Il sera peut-être de meilleure humeur. »

Au-dehors, un magnifique arc-en-ciel illumine le paysage. Un dernier regard au vieux bâtiment et Delmotte reprend sa route.

En arrivant à l’auberge, il prend une douche et change de vêtements. C’est alors qu’il fait une constatation déplaisante :

« Le mouchoir de Suzanne ! Je ne l’ai plus ! Quelle barbe ! Voyons : je l’ai sorti de ma poche en entrant dans la « commanderie ». Car Michaël a d’ores et déjà décidé que la vieille bâtisse ne pouvait être qu’une ancienne commanderie des Templiers.         

- Je me suis encore essuyé le front avec le mouchoir au moment où j’arrivais à l’étage. Bon, j’ai dû faire tomber le mouchoir chez le barbu ! Eh bien, ça me fera un but de promenade. S’il est de bonne humeur, le barbu me permettra peut-être de chercher mon mouchoir. Ou bien il l’aura déjà trouvé. Et puis nous reparlerons d’une vente éventuelle… »

Et le lendemain Michaël repart, à pied, pour une longue promenade qui doit le conduire à la vieille demeure avec sa porte romane…

Une fois parvenu au bois, Michaël Delmotte a un peu de mal à s’orienter.

« Mais où était cette baraque ? Pourtant, voyons, je suis arrivé de l’autre côté. Et dès que j’ai pénétré dans le petit bois, la maison était tout de suite à main droite. »

Michaël fait entièrement le tour du bois. En vain… Il en vient à se demander s’il ne s’est pas trompé de bosquet. Mais non, il reconnaît une barrière vermoulue et toute déglinguée qu’il avait remarquée la veille en arrivant. Soudain, il sent un frisson lui courir le long de l’épine dorsale. Il vient de retrouver la maison. Ou du moins ce qu’il en reste :

- Mais ce n’est pas possible !

Là, au milieu d’un fourré, Michaël voit… la porte romane. Seule, isolée. Rien ne reste des murs. Rien de l’épaisse porte en chêne qu’il a poussée hier. Simplement une porte romane toute seule au milieu des ronces et des orties. Avec un très joli dessin sculpté en forme de serpent. Aucun doute, c’est la porte de la maison… Mais la maison n’existe pas. La maison n’existe plus.  A-t-il rêvé la galerie et les portes des chambres à l’étage ? A-t-il rêvé l’homme barbu à la chemise blanche avec des manches bouffantes ? Ou bien existe-t-il deux portes romanes semblables dans ce bois ?

«  Est-ce que j’aurais tendance à devenir fou ? Ai-je été frappé par la foudre ? A moins que je ne sois passé dans une autre dimension. »

Il sent soudain une bouffée de chaleur et la sueur se met à perler sur son front : instinctivement, il fouille dans sa poche pour chercher un mouchoir :

« Ah ! le mouchoir de Suzanne. Si je l’ai bien utilisé hier, c’était de l’autre côté de la porte romane. Mais comment aller y voir avec tout ce fouillis de ronces ? »

Michaël n’a pas besoin de franchir la porte au serpent sculpté. Il aperçoit soudain le joli mouchoir brodé par Suzanne.

« Mince, comment faire pour aller le récupérer là-haut ? »

Effectivement le mouchoir est « là-haut » suspendu à une branche de chêne. A la hauteur d’un premier étage. A la hauteur exacte où Michaël se souvient de l’avoir utilisé la veille en arrivant sur la galerie qui n’existe pas… »

 

      

       Au sujet des communications intercellulaires plusieurs scientifiques du XXème siècle les ont détectées. Je citerai Hébert Frolich, prix nobel en 1950 qui confirme que les cellules émettent des champs électromagnétiques. Il semble qu’elles se parlent entre elles grâce à des ondes. H. Frolich conçoit la notion de « langage électromagnétique cellulaire c'est-à-dire intercellulaire et inter-organique ».

Si on parle à nos cellules, par des phrases dans la tête, en pensant à l'organe concerné, comme si on parlait à notre chat, nos cellules organiques nous entendent comme notre animal nous comprend ! Les cellules de notre corps communiquent entre elles par un langage électromagnétique (infrasons, sons, ou lumières), et lorsque nous parlons à quelque organe de notre corps, par des paroles ou par la pensée, cet organe perçoit notre message et le traite en conséquence. Cette méthode est efficace pour se guérir soi-même. Sachons aussi dire merci à nos organes qui fonctionnent bien et nous rendent bien service, ils n'en seront pas indifférents car ils sont vivants.Nos cellules sont vivantes, et en plus, en effet, à chaque particule de matière est associée une particule d'esprit, et cet esprit pense à sa façon et réagit sur la matière.

                          

 

 

 
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